L’année 2010 a tiré sa révérence et a désormais sa place dans le calendrier qui rythme la vie des hommes. 2010 a été une année au cours de laquelle certaines victoires importantes ont été remportées tant sur le plan politique, économique que sportif. Mais la vie ne s’arrête pas avec un combat gagné : la bataille de la vie reste entière, surtout si nous sommes perçus comme pays en voie de développement et post-conflit.
La nouvelle année qui commence doit être placée sous le signe de la continuité en vue de l’accomplissement de certains rêves. Nous devons nous départir du sentiment minimaliste pour tirer satisfaction de toutes les petites victoires remportées. Le challenge à relever est trop important pour être ainsi apprécié. Nous devons nous souvenir longtemps et toujours de l’engagement que nous avons pris à travers l’hymne national de bâtir un pays plus beau qu’avant. Pour y arriver deux conditions sont nécessaires : la paix et la bonne santé.
La paix reste la condition essentielle pour réaliser le développement de notre pays. La paix dont il est question ne doit pas être assimilée à une absence de guerre. La paix est beaucoup plus que cela. Un citoyen qui ne peut manger à sa faim, qui ne peut loger dignement, qui ne peut scolariser ces enfants, qui ne peut se soigner comme il se doit, bref, un citoyen qui ne peut satisfaire ses besoins les plus élémentaires n’est pas en paix. La paix doit d’abord être un état d’esprit qui doit habiter chacun au quotidien. Cet état d’esprit est important en cette année électorale ; chacun devra accomplir ce devoir civique dans la paix et en paix. Et aux challengers, il est demandé également d’accueillir le verdict dans la paix. Il est inutile de chercher de nouveau à créer des situations de violence comme si celle que nous avons connue avant 2006 n’était pas suffisante. En paix, dans la paix et avec la paix, tel doit être le leitmotiv qui devrait nous guider en cette nouvelle année.
La paix du cœur doit s’accompagner de la paix physiologique. La nouvelle année donne souvent lieu à des comportements où la lucidité n’est pas de mise. D’un point de vue affectif, la vigilance de tous est requise. L’usage du préservatif n’est pas une garantie de protection maximale. Notre mère l’Eglise a tenu à le souligner. Depuis les mots parodiés du Saint Père autour du préservatif, le courroux de l’industrie de production du préservatif n’était jamais retombé. Au-delà, de la question de protection que la poche de caoutchouc est censée assurer, il faut considérer que le vrai enjeu reste économique. Pourquoi tous les programmes de lutte contre le sida font-ils l’éloge du préservatif avec autant d’énergie que celle de la fidélité et de l’abstinence ? Si les destinataires du produit s’abstiennent, le sida reculera de soi-même. Mais que deviendront les milliers d’emplois que génère cette industrie ? De toute façon, la vie ne vaut tout son pesant d’or que par une sexualité suffisamment responsable. La confiance ne devrait pas reposer sur un petit objet fabriqué de main d’homme et qui porte en lui le germe de la finitude humaine.
Et c’est en étant en bonne santé que l’on peut pratiquer le football et parvenir à des résultats qui illuminent la vie, le temps d’une rencontre de football. Pour arriver à un tel sommet, il fallu beaucoup de discipline, d’abnégation et de sérieux dans la gestion du club. Etre battu en finale alors qu’on est la première équipe africaine à atteindre ce niveau relève d’une performance qui sera désormais inscrite dans les annales du football africain.
Cette performance qui est le fruit de la bonne gestion et du bon climat qui règne au sein du club devrait inciter les autres clubs congolais à emboîter le pas au Tout-Puissant Mazembe, désormais référence en la matière. Les différents championnats ont repris en même que temps que la compétition africaine inter club s’annonce. Les clubs kinois engagés dans cette aventure africaine doivent enterrer la hache de guerre qui a toujours miné nos clubs en interne et accorder les violons pour des résultats qui apportent la paix aux supporters. Puissions-nous, en paix, dans la paix et par la paix, agir tout au long de cette année pour notre épanouissement personnel et celui de notre pays.
La paix reste la condition essentielle pour réaliser le développement de notre pays. La paix dont il est question ne doit pas être assimilée à une absence de guerre. La paix est beaucoup plus que cela. Un citoyen qui ne peut manger à sa faim, qui ne peut loger dignement, qui ne peut scolariser ces enfants, qui ne peut se soigner comme il se doit, bref, un citoyen qui ne peut satisfaire ses besoins les plus élémentaires n’est pas en paix. La paix doit d’abord être un état d’esprit qui doit habiter chacun au quotidien. Cet état d’esprit est important en cette année électorale ; chacun devra accomplir ce devoir civique dans la paix et en paix. Et aux challengers, il est demandé également d’accueillir le verdict dans la paix. Il est inutile de chercher de nouveau à créer des situations de violence comme si celle que nous avons connue avant 2006 n’était pas suffisante. En paix, dans la paix et avec la paix, tel doit être le leitmotiv qui devrait nous guider en cette nouvelle année.
La paix du cœur doit s’accompagner de la paix physiologique. La nouvelle année donne souvent lieu à des comportements où la lucidité n’est pas de mise. D’un point de vue affectif, la vigilance de tous est requise. L’usage du préservatif n’est pas une garantie de protection maximale. Notre mère l’Eglise a tenu à le souligner. Depuis les mots parodiés du Saint Père autour du préservatif, le courroux de l’industrie de production du préservatif n’était jamais retombé. Au-delà, de la question de protection que la poche de caoutchouc est censée assurer, il faut considérer que le vrai enjeu reste économique. Pourquoi tous les programmes de lutte contre le sida font-ils l’éloge du préservatif avec autant d’énergie que celle de la fidélité et de l’abstinence ? Si les destinataires du produit s’abstiennent, le sida reculera de soi-même. Mais que deviendront les milliers d’emplois que génère cette industrie ? De toute façon, la vie ne vaut tout son pesant d’or que par une sexualité suffisamment responsable. La confiance ne devrait pas reposer sur un petit objet fabriqué de main d’homme et qui porte en lui le germe de la finitude humaine.
Et c’est en étant en bonne santé que l’on peut pratiquer le football et parvenir à des résultats qui illuminent la vie, le temps d’une rencontre de football. Pour arriver à un tel sommet, il fallu beaucoup de discipline, d’abnégation et de sérieux dans la gestion du club. Etre battu en finale alors qu’on est la première équipe africaine à atteindre ce niveau relève d’une performance qui sera désormais inscrite dans les annales du football africain.
Cette performance qui est le fruit de la bonne gestion et du bon climat qui règne au sein du club devrait inciter les autres clubs congolais à emboîter le pas au Tout-Puissant Mazembe, désormais référence en la matière. Les différents championnats ont repris en même que temps que la compétition africaine inter club s’annonce. Les clubs kinois engagés dans cette aventure africaine doivent enterrer la hache de guerre qui a toujours miné nos clubs en interne et accorder les violons pour des résultats qui apportent la paix aux supporters. Puissions-nous, en paix, dans la paix et par la paix, agir tout au long de cette année pour notre épanouissement personnel et celui de notre pays.
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